En planeur il arrive parfois que le ciel vous rejette en silence et vous oblige par manque d’autonomie à vous poser volontairement dans un champ moissonné avec bien sûr une prise de terrain conventionnelle bien préparée. Une fois au sol tout s’arrête. Plus aucun bruit. On se sent seul au monde quelques secondes. Puis on cherche à savoir où ça a merdé. Pourquoi on est là, en plein milieux d’un champ alors que le ciel est encore bien pavé de cumulus. Et bien le vol à voile c’est aussi ça. Alexandre pilote à l’AAVE (lire un article) et assis en place arrière du LK nous livre ses images.
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